DU PREMIER AU DERNIER VOR
VOR250628
Lien 1 :
https://orandia.com/forum/index.php?id=208241
Extrait : • KpRG évoque la valeur numérique kabbalistique du « Na’hash » (serpent biblique) qui est la même que « Machia’h », soit = 358
Quand on sait qu’Enki / Osiris est le Na’hash et qu’Horus est le mesi égyptien, il n’en n’est pas surprenant. D’autant plus qu’Osiris s’est réincarné (ressuscité) en Horus. N’oublions pas qu’Osiris était surnommé le « bien-aimé », qui se dit « David », d’où la fameuse lignée davidique !
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Lien 2 :
https://orandia.com/forum/index.php?id=203366
Extrait : David (bien aimé) est un attribut d’Osiris. Alors Horus, le rejeton de David, doit rétablir le règne d’Osiris (Dieu), son Père qui est dans les Cieux...
« Le Testament de la Vierge », Anton Parks, en pages 159-160 : Autre similitude entre Horus et Jésus : Horus est le fils de Meri, dont le sens est "bien-aimé(e)", alors que Jésus-Christ est appelé "fils de דָּוִיד" ("David") qui veut également dire "bien-aimé", mais en hébreu. Sauf que dans ce dernier cas, le concept relève du patriarcat, cher aux judéo-chrétiens, la Déesse Mère ayant été une fois encore ensevelie.
Cette association avec David, le "bien-aimé", provient très certainement de l’annonce de l’ange Gabriel faite à Marie dans l’évangile de Luc : "Le Seigneur Dieu lui donnera [à Jésus] le trône de David, son père. Il régnera au long des âges sur la maison de Jacob…" (Luc 1:32-33) Nous savons qu'en Égypte, "le bien-aimé" est Ptah-Osiris, titre repris plus tard par plusieurs pharaons. Nous savons également que Jacob correspond au dieu sumérien An et à son double égyptien Atum-Râ. Lorsqu’il est indiqué que Jésus régnera sur la maison de Jacob, cela peut se traduire par Heru (Jésus) régnera sur la demeure du "dieu de la lumière" Yakhu ("Jacob"), donc d’Atum.
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LIen 3 :
https://orandia.com/forum/index.php?id=203468
Je préfère EA à IA...
Extrait : ENKI-ÉA
« ÁDAM ĞENISIŠ », édition 2007, Anton Parks, en pages 344-345 : Ces deux représentations [l’Engur d’Enki et l’osireion d’Osiris] symbolisent strictement la même chose. Un large temple en pierres dédié à un dieu rattaché à un culte aquatique. Ce fait prend tout son sens lorsque l’on sait que le nom EN-KI est décliné en É-A en akkadien, c’est-à-dire "(celui au) temple de l’eau". Phénomène très intéressant, les éléments attribués à Osiris sont la Terre et l’Eau. Ces mêmes principes sont justement octroyés à Enki, en tant que "seigneur de la Terre" et Ea "maître du temple de l’eau".
« ÁDAM ĞENISIŠ », édition 2007, Anton Parks, en page 346 : Voici donc des découvertes capitales qui nous incitent une fois encore à identifier Osiris comme étant Enki, car elles mettent plusieurs éléments associés à Enki-Éa (d’origine mésopotamienne) en rapport direct avec le "dieu" égyptien Osiris, et plus précisément avec les notions qui tournent autour de la résurrection du "dieu" égyptien.
« ÁDAM ĞENISIŠ », édition 2007, Anton Parks, en page 347 : Rappelons qu’Enki-Éa était vu comme un être bénéfique aux yeux des Sumériens et Akkadiens. Osiris était identifié de la même façon et portait le nom de Unnefer qui signifie "être bon".
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Lien 4 :
https://orandia.com/forum/index.php?id=150825
Extrait : Examinons maintenant le chiffre 14 associé à la "deuxième mort" d’Osiris. La mythologie égyptienne nous rapporte que le corps d’Osiris aurait été récupéré par Seth et fragmenté en 14 ou 72 morceaux (comme nous le savons, le chiffre représentant Seth et ses partisans). C’est encore Plutarque dans son "Isis et Osiris" qui nous évoque ces 14 morceaux : "Isis […] avait déposé le coffre où était Osiris dans un endroit retiré. Mais Typhon (Seth), une nuit qu’il chassait durant la pleine lune, le trouva, reconnut son corps, le coupa en 14 morceaux et de tous les côtés le dispersa."
Dans la généalogie de Jésus-Christ proposée par Matthieu, on rencontre étrangement le chiffre 14. Ce chiffre correspond également aux différentes générations avant le Christ :
1. d’Abraham à David : 14 générations,
2. de David à la déportation de Babylone : 14 générations
3. de la déportation de Babylone au Christ : 14 générations (cf. Matthieu 1:1-17).
Matthieu démarre son évangile en stipulant que Jésus descendrait d’Abraham et de Davide ("le bien-aimé"). David, alias DWD, est restitué en gématrie de cette façon : D(4) + W(6) + D(4) = 14. En utilisant le chiffre 14 associé au roi David, Matthieu répète symboliquement que Jésus est bien le fils de David, donc du bien-aimé qui correspond à Osiris en Égypte. Les 14 morceaux d’Osiris représentent bien les 3 X 14 générations aboutiront non pas à Jésus, mais à Horus ! Le chiffre 3 figure en occultisme le sommet de la hiérarchie divine. Il est également le symbole du Christ, qui est généralement regardé à la fois comme Roi, Prêtre et Prophète.
Le chiffre 14 coïncide aussi avec les 14 stations du chemin de croix du Christ, correspondant à la moitié du cycle lunaire. 14 est également le chiffre de la Tempérance du 14e arcane du Tarot, l’arcane de la transmutation de l’eau en eau de vie ! 14 est le chiffre de l’incarnation de l’esprit dans la matière. Agrippa associe, lui aussi, le chiffre de la lune au Christ : "14 représente la figure du Christ immolé le 14e jour de la lune…"
Je ne le répéterai jamais assez : l’assassinat d’Osiris s’est déroulé à Abdju (Abydos) lors d’une attaque-surprise menée par Seth et ses compagnons (étaient-ils 71 ou 72 ?) et rendue possible par l’entremise de plusieurs traîtres présent au sein de la garde rapprochée d’Osiris. Je suis d’avis que le corps d’Osiris a par la suite effectivement été démantelé par Seth lors d’une profanation de la sépulture royale. Par contre, l’épisode tardif du coffre rapporté par plusieurs philosophes grecs, comme Plutarque, et quelques papyrus me semble n’être qu’une version symbolique du meurtre d’Osiris.
Le bilan que nous pouvons effectuer grâce aux éléments repérés dans cette partie est le suivant : les chiffres 72 et 14, rattachés à l’assassinat d’Osiris, reflètent dans la Bible les anciennes générations antédiluviennes, les générations d’avant le Christ Jésus, la milice céleste de Yahvé et finalement Yahvé lui-même. Difficile de ne pas conclure qu’Osiris aurait été assassiné par des personnages ayant appartenu à la milice du dieu biblique. C’est d’ailleurs ce qui est stipulé dans le Livre d’Enoch à plusieurs reprises à propos de Asa’el (Azazel) dont nous savons qu’il est Osiris. Dans la Bible, ce meurtre est imputé au clergé hébreu, alors que dans la littérature égyptienne, il est attribué à Seth et ses compagnons, dont nous savons qu’ils étaient couverts par Atum-Râ (Yahvé-An). Dans les deux cas, nous passons d’un ordre relevant du pouvoir absolu à un autre.
Il est de plus en plus indéniable que les différents rédacteurs de la Bible et de textes apocryphes comme celui d’Enoch se sont largement inspirés du mythe osirien. Pourquoi et dans quel but ? Cette étude va nous révéler encore bien des secrets qui vont nous permettre de démystifier l’insondable et de dévoiler l’impensable au grand jour.
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