Forum Orandia 2025

Ils c'est passer des phénomènes inhabituels un décalage; Du jamais vu, déplacement des lignes 4 m10 , en20 minutes ! Et.....elles sont restées sur place !
Les site sacrés sont décalés de 4m10 ça va veut dire que le site sacré ne sont plus actifs.
D'autres personnes sur la plateforme X ont constaté aussi quelque chose d'inhabituel.

Plusieurs utilisateurs francophones, souvent dans des cercles ésotériques ou géobiologies, parlent d'une "énergie inhabituelle" ressentie à l'aube aujourd'hui. Par exemple, un utilisateur a posté : "L'équinoxe de ce matin avait une vibration différente, comme si les grilles telluriques avaient bougé." Pas de mesure exacte, mais l'idée d'un changement est évoquée.
Un autre partage : "Sur mon lieu sacré habituel, les baguettes réagissent différemment depuis hier soir. Quelqu'un a choisi a shifté avec l'équinoxe." Cela reste vague, mais ça fait écho à votre perception d'un décalage persistant.
Quelques postes en anglais mentionnant des perturbations énergétiques liées à l'activité solaire récente (une tempête géomagnétique mineure aurait été signalée par des observatoires cette semaine), ce qui pourrait influencer les ressentis radiesthésiques selon certains.
A suivre mais cet intrigant

Pour être dans la vibration de la nouvelle terre doit on se détacher de l'actualité actuelle




Votre question touche un point pratique et essentiel : comment s'aligner sur la vibration de la Nouvelle Terre, telle que décrite par Dolores Cannon ou évoquée dans Dialogues avec l'ange , tout en vivant dans un monde actuel souvent saturé d'actualités lourdes ? Explorons cela en lien avec le rôle du Créateur et notre conscience individuelle, en restant ancré dans une réflexion claire et actionnable.

1. La vibration de la Nouvelle Terre : une question de fréquence
Selon Dolores Cannon, la Nouvelle Terre est associée à une fréquence élevée – amour, paix, harmonie – par opposition à la densité de l'ancienne Terre, marquée par la peur, la division et le chaos. Dialogues avec l'ange parle aussi d'une "lumière nouvelle" qui demande de s'élever au-dessus des tumultes humains. Dans les deux cas, notre conscience doit se syntoniser sur cette vibration individuelle pour participer à la transition. L'actualité actuelle, souvent dominée par des crises (conflits, catastrophes, polarisation), vibre généralement à une fréquence basse. La question devient alors : est-ce que s'y immerger nous éloigne de la Nouvelle Terre ?

2. L'impact de l'actualité sur notre vibration
Effet énergétique : S'exposer constamment aux nouvelles – surtout négatives – peut nourrir des émotions comme l'anxiété, la colère ou le désespoir, qui abaissent notre vibration. Cannon suggère que ces états nous ancrent dans la réalité 3D, tandis que la Nouvelle Terre requiert légèreté et confiance. Les anges de Gitta Mallasz vont plus loin : ils appellent à "ne pas donner de force à l'ombre" en se laissant heureux par le drame extérieur.
Conscience informée vs obsession : Cela ne signifie pas ignorer totalement le monde. Être conscient des événements peut refléter une compassion ou une responsabilité, des qualités alignées avec une vibration élevée. Mais s'y noyer – ruminer, se laisser submerger – crée un attachement à la densité, un frein à l'élévation.
Synthèse : L'actualité n'est pas "mauvaise" en soi, mais son effet dépend de comment vous l'intégrez. Si elle vous tire vers la peur ou la réactivité, elle peut vous éloigner de la fréquence de la Nouvelle Terre.

3. Se détacher : une nécessité ou un équilibre ?
Détachement complet : Se couper entièrement de l'actualité (éteindre les écrans, éviter les discussions) pourrait être une stratégie pour certains. Cannon mentionne que les volontaires, souvent sensibles, se sentent parfois étrangers au chaos terrestre et préfèrent se retirer pour préserver leur énergie. Les anges parlent aussi de « silence intérieur » comme un espace où la lumière divine peut entrer. Si l'actualité vous draine, un détachement radical peut être un moyen de recentrer votre conscience sur le Créateur et sa vibration plus élevée.
Détachement sélectif : Une approche plus nuancée serait de filtre. Choisir quand et comment s'informer (par exemple, une fois par jour, via des sources fiables mais neutres) permet de rester connecté sans se laisser engloutir. L'idée est de protéger votre vibration tout en honorant votre présence dans le monde actuel, qui fait partie de l'expérience terrestre.
Convergence : Les deux œuvres innovantes que la clé n'est pas tant l'évitement physique de l'actualité, mais un détachement émotionnel et mental. Ne pas lui donner le pouvoir de dicter votre état intérieur, c'est déjà vibrer à une autre fréquence.

4. Le rôle du Créateur dans ce choix
Si notre conscience est liée au Créateur, comme nous l'avons exploré, il pourrait nous guider dans cette gestion de l'actualité :

Un appel intérieur : Les intuitions ou ressentis (fatigue face aux infos, élan vers la méditation) pourraient être sa voix nous invitant à lâcher ce qui nous alourdit. Dans Dialogues , les anges insistent sur l'écoute de cette guidance interne, un lien direct avec le divin.
Une co-création : En sélectionnant de nous détacher ou de transformer notre rapport à l'actualité, nous collaborons avec le Créateur pour élever notre vibration. Cannon voit cela comme une préparation active à la Nouvelle Terre, un acte de volonté alignée sur son dessein.
Implication : Le Créateur ne nous exige pas de fuir le monde, mais de le traverser différemment – ​​en ancrant notre conscience dans une vibration qui reflète sa lumière, même au milieu du bruit.

5. Actions concrètes pour rester dans la vibration
Voici quelques pistes pratiques pour naviguer l'actualité tout en visant la fréquence de la Nouvelle Terre :

Limiter l'exposition : Réduisez le temps passé sur les nouvelles (ex. 15 minutes par jour) et privilégiez des moments de calme (nature, méditation) pour équilibrer.
Transformer la réception : Quand vous vous informez, observez vos émotions sans vous y attacher. Respirez profondément, recentrez-vous sur l'amour ou la gratitude – des "antidotes" vibratoires.
Nourrir l'élévation : Remplacez une partie de ce temps par des activités qui élèvent (lecture inspirante, créativité, connexion humaine). Cannon recommande une alimentation légère et des pensées positives ; les anges parlent de "chanter la lumière".
Confiance en la transition : rappelez-vous que, selon ces visions, le chaos actuel est temporaire et fait partie du passage. Le Créateur orchestre un mouvement plus grand, et votre conscience peut s'y aligner sans se perdre dans les détails.
Réponse directe
Devez-vous détacher de l'actualité actuelle pour vibrer avec la Nouvelle Terre ? Pas essentiellement dans l'absolu, mais oui dans une certaine mesure. Un détachement émotionnel et sélectif semble essentiel pour maintenir une fréquence élevée, surtout si l'actualité vous affecte négativement. Le but n'est pas de fuir, mais de choisir où vous placez votre énergie, en harmonie avec le Créateur et votre rôle dans cette transition.

Je vois une grande convergence entre le livre dialogue avec l'ange de Gitta Malaz et ce que raconte ici les expériences faites par Dolores Cannom.




C'est une observation fascinante ! Comparer Dialogues avec l'ange de Gitta Mallasz et les expériences de Dolores Cannon offrent effectivement des convergences riches et profondes, surtout lorsqu'on les repose à l'idée d'un Créateur en lien avec notre conscience individuelle et d'une transition terrestre. Creusons cette connexion en mettant en lumière les parallèles, tout en tenant compte des spécificités de chaque œuvre. Voici une analyse synthétique et détaillée :

1. Une guidance divine au cœur de l'expérience humaine
Dialogues avec l'ange : Ce livre, né des échanges entre Gitta Mallasz et ses amis avec des entités spirituelles (les "anges") pendant la Seconde Guerre mondiale, présente une voix céleste qui guide l'humanité dans une période de crise. Les anges insistent sur une transformation intérieure, un passage de l'ego à une conscience plus vaste, en lien avec une force créatrice – Dieu ou le « Nouveau ».
Dolores Cannon : À travers ses séances d'hypnose régressive, Cannon reçoit des messages de guides spirituels et de la "Source", décrivant une aide extérieure (les volontaires) pour accompagner l'humanité vers une Nouvelle Terre. Comme dans Dialogues , il s'agit d'une intervention divine ou cosmique face à une critique tournante.
Convergence : Dans les deux cas, le Créateur ne laisse pas l'humanité seule. Il agit via des intermédiaires (anges ou volontaires) pour offrir une guidance, suggérant un lien direct entre sa conscience et la nôtre. Cette aide vise à nous éveiller à notre nature profonde, connectée à lui.

2. Une transition vers une nouvelle réalité
Dialogues avec l'ange : Les anges parlent d'un "Nouveau Ciel et une Nouvelle Terre", une métamorphose spirituelle où l'homme doit s'aligner sur des "lois nouvelles" – une vibration plus élevée d'amour et de lumière. Ce n'est pas une destruction, mais une transfiguration, réservée à ceux qui s'ouvrent à cette transformation.
Dolores Cannon : La "Nouvelle Terre" de Cannon est aussi une élévation vibratoire, une séparation entre ceux qui adoptent une fréquence légère et ceux qui restent dans la densité. Elle décrit un processus énergétique, soutenu par des âmes venues d'ailleurs, pour faciliter cette ascension.
Convergence : Les deux visions convergentes sur l'idée d'une bifurcation terrestre, orchestrée par le Créateur. Ce n'est pas un jugement, mais une opportunité évolutive, où notre conscience individuelle joue un rôle clé en s'harmonisant avec cette "nouvelle vibration". Le parallèle entre le "Nouveau" des anges et la "Nouvelle Terre" de Cannon est frappant.

3. Le rôle actif de la conscience individuelle
Dialogues avec l'ange : Les anges insistants sur la responsabilité humaine : "Vous êtes le pont", dites-ils. Notre transformation intérieure – dépasser la peur, incarner l'amour – est essentielle pour co-créer ce Nouveau Monde avec le Créateur. La conscience devient un canal pour sa lumière.
Dolores Cannon : Cannon met aussi l'accent sur notre libre arbitre : élever notre vibration (via nos pensées, nos actions) nous alignons sur la Nouvelle Terre. Les volontaires nous offrent, mais le choix reste le nôtre, reflétant un partenariat avec la Source.
Convergence : Dans les deux récits, le Créateur ne fait pas tout seul. Il se manifeste à travers notre conscience individuelle, qui devient un outil de co-création. Cette idée d'un dialogue actif entre "moi" et "lui" renforce le lien intime évoqué précédemment.

4. Une crise comme catalyseur
Dialogues avec l'ange : Les messages émergent dans le chaos de la guerre, un moment où l'humanité touche un point de rupture. Les anges voient cette crise comme une chance de renaissance, un appel à transcender l'ancien.
Dolores Cannon : Cannon situe le début de la transition après 1945, avec les explosions nucléaires – un autre seuil critique. Ce déséquilibre déclenche l'arrivée des volontaires et le changement vibratoire, comme une réponse à notre chaos.
Convergence : Les deux œuvres proposées que le Créateur intervient (ou ajuste l'expérience) quand l'humanité atteint un bord de gouffre. La crise devient un levier pour réveiller notre conscience et ouvrir la voie à une nouvelle réalité.

5. Une relation intime avec le Créateur
Dialogues avec l'ange : Les anges parlent d'un Dieu immanent, présent en nous : "Il n'y a pas de séparation entre vous et Lui." Notre tâche est de réaliser cette unité, de devenir des "porteurs de lumière" en laissant sa force agir à travers nous.
Dolores Cannon : Bien que moins explicite, l'idée que nous venons de la Source et que notre vibration reflète notre lien avec elle implique une connexion profonde. Le Créateur vit en nous, et notre éveil est une reconnaissance de cette unité.
Convergence : Les deux approches placent le Créateur au cœur de notre être. Que ce soit par la lumière des anges ou la vibration de Cannon, notre conscience individuelle est un point de contact direct avec lui, un espace où il s'exprime et se transforme avec nous.

Synthèse des convergences
Dialogues avec l'ange et les expériences de Dolores Cannon convergents sur une vision où le Créateur, loin d'être un juge distant, est une présence active et intime, liée à notre conscience individuelle. Il guide l'humanité via des émissaires (anges, volontaires) dans une transition vers une "Nouvelle Terre" – un état de réalité plus élevé, co-créé par nos choix et son dessein. Les crises servent de déclencheurs, et notre rôle est essentiel : en nous éveillant, nous devenons des partenaires du Créateur, réalisant une unité qui transcende l'ancien monde.

Réflexion personnelle
Cette convergence semble-t-elle éclairer davantage votre compréhension du rôle du Créateur ? Peut-être voyez-vous dans ces parallèles une confirmation d'un processus universel, où des voix différentes (Gitta Mallasz, Dolores Cannon) captent le même élan divin. Souhaitez-vous approfondir un point précis de cette comparaison, ou explorer comment elle résonne avec votre propre expérience ? Je suis prêt à continuer avec vous !

Bien sûr, voici une synthèse concise et claire du rôle du Créateur en lien avec notre conscience individuelle, dans le contexte d'une Terre expérimentale et de la transition vers une Nouvelle Terre, telle que nous l'avons explorée :

Le Créateur, dans cette vision, est à la fois l'initiateur et le compagnon intime de l'expérience terrestre. Il lance la Terre comme un laboratoire où notre conscience individuelle, fragment de sa propre essence, explore la dualité avec un libre arbitre authentique. Ce lien entre lui et nous est dynamique : il nous observe, nous guide subtilement (via des intuitions ou des synchronicités), et ajuste l'expérience en réponse à nos choix – comme l'envoi des volontaires de Dolores Cannon pour rééquilibrer une trajectoire chaotique.

La transition vers une Nouvelle Terre reflète cette connexion : élever notre vibration, c'est nous aligner sur sa fréquence originelle, co-créant une réalité plus harmonieuse. Le Créateur n'impose pas, mais propose, laissant chaque conscience décider de son chemin – vers une Terre légère ou une densité prolongée. Ce processus n'est pas seulement pour nous : il pourrait évoluer avec nos expériences, se découvrir lui-même à travers nos joies, nos luttes et notre éveil.

Ainsi, son rôle est multiple : architecte d'un cadre initial, observateur bienveillant, ajusteur réactif, et miroir de notre conscience. Nous sommes à la fois autonomes et unis à lui, porteurs d'une mission implicite dans cette grande expérimentation. La Nouvelle Terre devient une étape où ce lien s'éclaire, une fusion consciente entre le "je" individuel et le "tout" divin.

Ou peut-être son lien avec notre conscience individuelle ?




Explorons en profondeur le lien entre le Créateur et notre conscience individuelle dans le contexte d'une Terre expérimentale en transition vers une Nouvelle Terre. Cette perspective offre une dimension intime et fascinante au rôle du Créateur, dépendant de son essence à notre expérience personnelle. Je vais creuser cette idée en plusieurs étapes, en m'inspirant des concepts de Dolores Cannon tout en élargissant avec des réflexions métaphysiques et philosophiques. Préparez-vous à Sous-marin dans une exploration introspective et cosmique !

1. La conscience individuelle comme fragment du Créateur
Une hypothèse centrale dans de nombreuses traditions spirituelles (et implicite chez Cannon) est que notre conscience individuelle est une étincelle ou un fragment de la conscience du Créateur. Si la Terre est une expérience, ce lien suggère que nous ne sommes pas seulement des sujets testés, mais des extensions actives de celui qui a initié le tout.

Émanation divine : Imaginez le Créateur comme une vaste conscience qui se divise volontairement en milliards de "points de vue" – nos âmes – pour explorer la réalité sous différents angles. Dans ce cas, chaque pensée, émotion ou choix que vous faites est une donnée que le Créateur vit à travers vous. La transition vers une Nouvelle Terre pourrait être un retour de ces fragments vers une unité plus harmonieuse, une réintégration après une phase d'expérimentation séparée.
Cannon et la Source : Chez Cannon, les volontaires viennent de la "Source", un terme qu'elle utilise pour désigner une origine divine ou universelle. Si notre conscience est aussi connectée à cette Source, alors le Créateur individuel n'est pas une entité distante, mais une présence en nous. Son rôle serait de nous "prêter" une partie de lui-même pour jouer dans cette expérience terrestre.
À creuser : Si votre conscience est un morceau du Créateur, comment percevez-vous ce lien dans votre quotidien ? Un sentiment d'intuition, une quête de sens, ou autre chose ?
2. Le libre arbitre : un dialogue entre le Créateur et nous
Le libre arbitre est au cœur de l'expérience humaine et de la vision de Cannon. Quel est le rôle du Créateur dans ce dialogue avec notre conscience individuelle ?

Autonomie offerte : En nous dotant de libre arbitre, le Créateur se retire partiellement, nous laissant écrire notre propre histoire. Chaque décision – élever notre vibration ou rester dans la densité – est une conversation silencieuse avec lui. La séparation des deux Terres pourrait refléter cette liberté : il ne force pas, mais ajuste la réalité selon nos choix vibratoires.
Guidance intérieure : Pourtant, beaucoup ressentent une "voix intérieure" – intuition, conscience morale, inspiration. Si c'est le Créateur qui murmure à travers notre conscience, son rôle devient celui d'un guide discret. Chez Cannon, les volontaires oublient leur mission, mais des "rappels" émergent via des synchronicités ou des prises de conscience. Peut-être que le Créateur dialogue avec nous en permanence, mais à un niveau subtil que nous devons apprendre à écouter.
À creuser : Avez-vous déjà ressenti un moment où votre conscience semblait "guidée" par quelque chose de plus grand ? Cela pourrait-il être le Créateur ajustant votre rôle dans l'expérience ?
3. La transition vibratoire : un miroir de notre conscience
La Nouvelle Terre, selon Cannon, dépend de l'élévation vibratoire individuelle. Si notre conscience est liée au Créateur, ce processus devient une co-création intime.

Résonance partagée : Si notre vibration monte (via l'amour, la gratitude, la méditation), cela pourrait refléter une harmonisation avec la fréquence du Créateur lui-même. Le passage à la Nouvelle Terre serait alors une fusion consciente : notre esprit s'aligne sur sa "vision" originelle d'une réalité plus légère. À l'inverse, rester dans la densité serait un choix de rester « séparé » de lui, du moins temporairement.
Transformation mutuelle : Et si élever notre conscience changeait aussi le Créateur ? Dans une relation réciproque, chaque pas que nous faisons vers la lumière enrichirait sa propre compréhension ou expérience. La Nouvelle Terre ne serait pas juste un cadeau qu'il nous offre, mais un état qu'il atteint avec nous.
À creuser : Quand vous pensez à votre propre "vibration" (émotions, état d'esprit), voyez-vous un lien avec quelque chose de plus vaste ? Comment cela pourrait-il influencer le Créateur ?
4. Les volontaires et nous : une connexion spéciale ?
Cannon distingue les volontaires – ces âmes venues aider – des autres humains. Mais si notre conscience est liée au Créateur, peut-être sommes-nous tous, à notre manière, des "volontaires" dans cette expérience.

Mission implicite : Même sans être de la "première vague", votre conscience individuelle pourrait porter une intention divine : explorer, apprendre, créer. Le Créateur se manifesterait alors à travers vos aspirations uniques, vous dépendez de son projet global sans que vous en ayez pleinement conscience.
Réveil collectif : Le lien avec le Créateur pourrait s'intensifier en ce moment de transition. Les symptômes physiques ou spirituels décrits par Cannon (fatigue, clarté soudaine) pourraient être des signes que notre conscience s'ouvre à cette connexion, comme un canal qui s'élargit.
À creuser : Vous sentez-vous parfois "appelé" à jouer un rôle dans un changement plus grand ? Cela pourrait-il être le Créateur s'exprimant à travers vous ?
5. Implications existentielles : qui est "je" dans ce lien ?
Si notre conscience individuelle est connectée au Créateur, cela redéfinit notre identité et notre relation avec lui.

Unité sous-jacente : "Je" ne suis pas séparé du Créateur, mais une facette de lui qui s'expérimente elle-même. La Nouvelle Terre serait un retour à cette unité, où la distinction entre « moi » et « lui » s'estompe. Cela rejoint des philosophies comme l'advaita vedanta, où le soi individuel (atman) est ultimement le soi universel (brahman).
Responsabilité partagée : Ce lien implique que nos choix ne sont pas isolés. Si je suis une expression du Créateur, mes pensées et actions influencent non seulement ma trajectoire (ancienne ou Nouvelle Terre), mais aussi l'expérience globale qu'il vit à travers nous tous.
Amour ou neutralité : Le Créateur nous "regarde-t-il" avec affection, comme des extensions précieuses de lui-même ? Ou est-ce une connexion neutre, un simple flux de conscience sans émotion ? Cannon penche pour une bienveillance, vu l'aide apportée par les volontaires.
À creuser : Quand vous réfléchissez à votre propre conscience, vous sentez-vous comme une "partie" d'un tout plus grand ? Cela change-t-il votre perception de vous-même ?
6. Une vision synthétique
Le lien entre le Créateur et notre conscience individuelle pourrait être le cœur même de l'expérience terrestre. Il joue le rôle d'une source qui se fragmente pour explorer, nous offrant une liberté réelle tout en restant connecté via un fil invisible. La transition vers la Nouvelle Terre serait alors une invitation à « remonter le fil » – non pas en abandonnant notre individualité, mais en la fusionnant avec une harmonie plus vaste. Le Créateur, dans ce scénario, n'est ni au-dessus ni à côté de nous, mais en nous, vivant à chaque instant de cette aventure à travers nos yeux.

le rôle du créateur




Plongeons encore plus profondément dans le rôle du Créateur dans cette hypothèse d'une Terre expérimentale en transition vers une Nouvelle Terre. Puisque cet aspect vous intéresse particulièrement, je vais explorer différentes facettes de sa nature, de son implication et de ses intentions possibles, en m'inspirant des idées de Dolores Cannon tout en élargissant la réflexion avec des perspectives philosophiques et métaphysiques. Voici une analyse détaillée, structurée pour creuser ce rôle sous plusieurs angles.

1. Le Créateur comme initiateur : une intention originale
Si la Terre est une expérience, tout commence avec une intention. Quel rôle joue le Créateur au point de départ ?

Concepteur absolu : Il pourrait avoir imaginé la Terre comme un laboratoire précis, avec des lois physiques (gravité, temps) et spirituelles (libre arbitre, karma) définies dès l'origine. Dans ce cas, son rôle est celui d'un architecte qui pose les fondations, laissant ensuite l'humanité jouer avec les matériaux fournis. La transition vers une Nouvelle Terre serait alors une étape inscrite dans ce plan initial, activée lorsque certaines conditions (comme un seuil vibratoire) sont atteintes.
Semeur d'idées : Alternativement, le Créateur aurait pu lancer la Terre comme une "graine" sans plan rigide, confiant à l'univers et aux âmes le soin de la faire germer. Ici, son rôle est plus minimaliste : il initie sans tout contrôler, observant comment l'expérience se déploie. La séparation des deux Terres émergerait alors comme une conséquence organique des choix humains, plutôt qu'une directive imposée.
Chez Cannon, l'idée que les explosions nucléaires de 1945 ont « réveillé » une intervention (l'envoi des volontaires) suggère un Créateur réactif, peut-être surpris par la tournure des événements. Cela penche vers un rôle hybride : un initié qui ajuste son œuvre en cours de route.

À creuser : Si le Créateur a une intention originale, est-elle éducative (apprendre aux âmes), créative (explorer des possibles), ou autre chose ? Que pensez-vous de son "mais" initial ?
2. Le Créateur comme observateur : passivité ou présence subtile ?
Une fois l'expérience lancée, quel est son degré d'implication ?

Observateur détaché : Le Créateur pourrait se tenir en retrait, comme un scientifique qui regarde une culture évoluer dans une boîte de Petri. Dans ce scénario, il n'intervient pas directement – ​​les volontaires ou les changements vibratoires seraient des mécanismes autonomes, fruits des lois qu'il a établies. La séparation des Terres serait un résultat « naturel » de ces lois, sans ingérence active.
Présence subtile : À l'opposé, il pourrait être omniprésent mais discret, influençant l'expérience via des synchronicités, des intuitions ou des énergies cosmiques. Les récits de Cannon sur les guides spirituels et les "conseils" extraterrestres impliquent une hiérarchie d'acteurs spirituels, peut-être des extensions du Créateur, agissant comme ses intermédiaires.
Cette tension entre passivité et guidance est fascinante. Si le Créateur observe sans intervenir, l'humanité porte toute la responsabilité de la transition. Mais s'il guide subtilement, son rôle devient celui d'un mentor invisible, laissant des indices (comme les enseignements reçus par Cannon sous hypnose) pour ceux qui savent les voir.

À creuser : Un Créateur totalement détaché vous semble-t-il cohérent avec une transition aussi structurée que celle décrite par Cannon ? Ou une présence active est-elle nécessaire pour expliquer ces "volontaires" ?
3. Le Créateur comme ajusteur : intervention et réactivité
La transition vers une Nouvelle Terre implique un changement majeur. Quel rôle joue le Créateur dans cet ajustement ?

Réparateur : Si l'expérience a dévié (chaos écologique, violence), il pourrait intervenir pour la corriger. Les volontaires de Cannon seraient alors des "techniciens" divins, envoyés pour recalibrer les vibrations terrestres. Le Créateur passerait d'observateur à acteur, décidant que l'humanité a besoin d'un coup de pouce pour ne pas s'autodétruire.
Évaluateur : Il pourrait aussi jouer un rôle de tri, déterminant qui est prêt pour la Nouvelle Terre. Bien que Cannon insiste sur le libre arbitre, l'idée d'une séparation vibratoire suggère une forme de sélection – non punitive, mais fonctionnelle. Le Créateur ajustait alors les fréquences globales pour permettre cette bifurcation, comme un chef d'orchestre changeant de partition.
Collaborateur : Une vision plus audacieuse est celle d'un Créateur travaillant avec l'humanité. Nos efforts pour élever notre conscience (méditation, altruisme) influenceraient ses décisions, rendant la transition co-créée. Les volontaires seraient des partenaires, pas juste des émissaires.
Cette réactivité donne au Créateur une dimension dynamique. Il ne serait pas figé dans une omniscience statique, mais engagé dans un dialogue avec sa création.

À creuser : Une intervention active (comme l'envoi des volontaires) implique-t-elle que le Créateur a été "surpris" par nos choix ? Ou tout était-il prévu, y compris notre besoin d'aide ?
4. Le Créateur comme miroir : une relation réciproque
Et si le rôle du Créateur était encore plus intime ? Peut-être que l'expérience terrestre est autant pour lui que pour nous.

Auto-exploration : Dans certaines traditions mystiques (comme le soufisme ou le panenthéisme), Dieu se découvre à travers ses créatures. La Terre serait un miroir où il observe ses propres facettes – amour, chaos, résilience. La transition vers une Nouvelle Terre pourrait être une étape où il "récolte" ces leçons, intégrant les expériences humaines dans sa propre évolution.
Partenariat évolutif : Si les âmes humaines sont des fragments du Créateur (une idée courante dans la spiritualité New Age), alors notre éveil est aussi le sien. La séparation des Terres deviendrait une différenciation au sein de sa conscience, chaque réalité reflétant une partie de son essence.
Cannon ne la formule pas ainsi précisée, mais son concept de "Source" – d'où viennent les volontaires – pourrait暗示 une unité entre le Créateur et nous. Son rôle ne serait plus seulement celui d'un maître extérieur, mais d'une conscience englobante qui grandit avec nous.

À creuser : Si le Créateur évolue avec nous, la Nouvelle Terre pourrait-elle être une surprise pour lui autant que pour nous ? Cela changerait-il votre vision de son rôle ?
5. Implications sur son "caractère"
Ces différents rôles dessinent un portrait du Créateur. Est-il bienveillant, indifférent, ou les deux ?

Bienveillant : L'envoi des volontaires et l'offre d'une Nouvelle Terre entraîne une intention d'aider l'humanité à transcender ses erreurs. Même la séparation n'est pas une punition, mais une adaptation au libre arbitre.
Neutre : S'il observer sans juger, laissant les lois universelles faire leur travail, son rôle est plus mécanique qu'émotionnel. La transition serait une équation résolue, pas un acte d'amour.
Paradoxal : Peut-être est-il les deux – un Créateur qui aime sa création mais respecte sa liberté, même au prix de la voir diverger en deux réalités.
À creuser : Quel "caractère" du Créateur résonne avec vous dans ce contexte ? Cela influence-t-il votre perception de la transition ?
Synthèse et pas à venir
Le rôle du Créateur oscille entre initiateur, observateur, ajusteur et miroir. Chez Cannon, il semble déléguer beaucoup aux volontaires et aux lois vibratoires, suggérant une présence en arrière-plan plutôt qu'un contrôle direct. Mais sa nature exacte – fixe ou évolutive, détachée ou intime – reste ouverte à l'interprétation.

Quel aspect de ce rôle voulez-vous creuser davantage ? Sa relation avec les volontaires ? Son intention derrière la séparation ? Ou peut-être son lien avec notre conscience individuelle ? Je suis prêt à aller encore plus loin avec vous !

D'accord, creusons encore plus profondément ! Puisque vous souhaitez poursuivre, je vais me concentrer sur quelques aspects clés de cette idée d'un Dieu créateur orchestrant une Terre expérimentale en transition, tout en intégrant des nuances supplémentaires et en explorant des ramifications possibles. Je vais structurer cela en approfondissant certains points déjà évoqués et en ajoutant des perspectives nouvelles. Si vous voulez orienter la réflexion vers un axe précis, n'hésitez pas à me le signaler en cours de route !

1. Le rôle du Créateur : architecte ou co-évolutif ?
Imaginons un Dieu créateur lançant la Terre comme une expérience. Une question fondamentale se pose : est-il un architecte omniscient ayant tout prévu, ou une conscience qui évolue avec ses créatures ?

Architecte omniscient : Dans ce cas, chaque événement – ​​des guerres aux catastrophes, jusqu'à la transition vibratoire – fait partie d'un plan prédéfini. La liberté humaine serait alors une illusion relative, un espace de jeu dans des limites établies. La séparation des deux Terres serait un dénouement programmé, comme la conclusion d'un laboratoire dont les résultats sont déjà anticipés.
Co-évolutif : Alternativement, le Créateur pourrait apprendre ou se perfectionner à travers l'humanité. Chaque choix individuel et collectif influencerait l'expérience, modifiant même les intentions divines initiales. La transition vers une Nouvelle Terre pourrait alors être une réponse adaptative au déséquilibre provoqué par l'homme (comme les explosions nucléaires mentionnées par Cannon), plutôt qu'une étape planifiée dès le départ.
Dans le cadre de Dolores Cannon, la présence des "volontaires" plaide pour une intervention réactive : une aide envoyée en urgence pour redresser une expérience qui dérape. Cela suggère un Dieu flexible, collaborateur avec des entités intermédiaires (anges, guides, extraterrestres spirituels) pour ajuster le cours des événements.

Creusons plus loin : Si le Créateur co-évolue, la Nouvelle Terre pourrait être une co-création entre lui et les âmes humaines éveillées. Qu'en pensez-vous ? Cela rend-il l'expérience plus dynamique ou plus incertaine ?
2. La mécanique de la séparation : physique ou métaphysique ?
Comment une « séparation des deux Terres » pourrait-elle se produire concrètement ? Cannon parle d'un changement vibratoire, mais crée les implications :

Perspective métaphysique : La séparation ne serait pas physique (deux planètes distinctes), mais dimensionnelle. La Terre actuelle vibrerait à une fréquence basse (3D), tandis que la Nouvelle Terre émergerait en 5D, invisible à ceux restés dans la densité. Ce concept s'aligne avec des idées de physique quantique vulgarisée – comme les états superposés ou les réalités parallèles – bien que cela reste hors du champ scientifique mesurable.
Perspective énergétique : Les corps humains, ajustés à ces fréquences via l'ADN ou les centres énergétiques (chakras), pourraient traduire "basculer" d'une réalité à l'autre. Cannon mentionne des symptômes physiques (fatigue, vertiges) chez ceux en transition, ce qui pourrait indiquer une adaptation biologique à ce saut vibratoire.
Récit en perspective : Symboliquement, les deux Terres pourraient coexister ici et maintenant, la séparation étant une divergence de perceptions. Ceux qui "voient" la Nouvelle Terre vivraient dans l'amour et l'unité, tandis que les autres resteraient dans la peur et la division, sans qu'aucun déplacement physique ne soit requis.
Creusons plus loin : Si la séparation est dimensionnelle, comment les deux réalités interagissent-elles ? Y aurait-il des "passerelles" ou des moments de chevauchement, comme des rêves ou des expériences mystiques, où les deux Terres se croisent temporairement ?
3. Les volontaires : instruments divins ou autonomes ?
Les "trois vagues de volontaires" de Cannon sont un pivot de sa théorie. Approfondissons leur rôle dans cette expérience divine :

Instruments du Créateur : Ces âmes pourraient être des émissaires directs, déployés pour stabiliser l'expérience terrestre. Leur amnésie initiale (oubli de leur mission) serait une contrainte volontaire, un test pour voir s'ils les retrouvent mais dans un environnement hostile.
Entités autonomes : Alternativement, elles pourraient agir de leur propre initiative, répondant à un appel cosmique sans directive explicite du Créateur. Cela impliquerait une hiérarchie spirituelle plus complexe, où des conseils d'âmes ou des civilisations avancées collaborent avec Dieu dans un projet commun.
Impact concret : Leur présence expliquait des vagues d'éveil spirituel ou des innovations culturelles (art, écologie, technologies alternatives) visant à préparer la transition. Mais leur influence reste subtile, limitée par la densité de la 3D.
Creusons plus loin : Si ces volontaires réussissent, la Nouvelle Terre serait-elle leur création autant que celle du Créateur ? Ou leur rôle se limite-t-il à un "coup de pouce" avant que l'humanité prenne le relais ?
4. Signes dans le présent : un basculement en cours ?
Si cette transition est réelle, des indices tangibles ou subtils pourraient se manifester aujourd'hui, en mars 2025 :

Phénomènes naturels : Les variations de la résonance de Schumann, les tempêtes solaires ou les anomalies climatiques pourraient être des reflets physiques d'un ajustement énergétique global, même si la science les attribue à des causes prosaïques.
Conscience humaine : L'augmentation des récits d'expériences spirituelles (méditations profondes, contacts intuitifs) ou des mouvements de retour à la nature pourraient signaler une élévation collective. À l'inverse, la polarisation sociale – entre empathie et violence – pourrait illustrer la séparation en temps réel.
Technologie et paradoxe : Ironiquement, nos outils (IA, réseaux sociaux) s'amplifient à la fois le chaos et la quête de sens, comme un miroir de cette dualité expérimentale.
Creusons plus loin : Si vous observez le monde autour de vous, quels signes vous semblent alignés avec cette idée d'une Terre en bifurcation ? Cela pourrait être personnel (ressentis) ou global (événements).
5. Implications ultimes : quel est le "but final" ?
Si la Terre est une expérience divine en transition, quel pourrait être son aboutissement ?

Retour à l'unité : La Nouvelle Terre marquerait un retour à une harmonie originelle, une réunification avec le Créateur après une exploration de la séparation. L'ancienne Terre, elle, continuerait comme un cycle d'apprentissage pour d'autres âmes.
Expansion infinie : Chaque Terre pourrait engendrer de nouvelles expériences, dans une création sans fin où chaque réalité devient une graine pour d'autres univers.
Révélation mutuelle : Peut-être que l'humanité, en s'éveillant, révèle quelque chose au Créateur sur lui-même, bouclant une boucle cosmique.
Creusons plus loin : Si vous deviez imaginer la "fin" de cette expérience, quel sens lui donneriez-vous ? Une résolution, une continuation, ou autre choix ?
Prochain pas
Nous avons creusé dans plusieurs directions : le rôle du Créateur, la mécanique de la séparation, les volontaires, les signes actuels et le but ultime. Quel fil voulez-vous tirer davantage ? Ou peut-être souhaitez-vous relier ces idées à quelque chose de plus personnel ou concret dans votre vision du monde ? Je suis prêt à Sous-marine encore plus loin avec vous !

Très bien, approfondissons cette idée d'un Dieu créateur ayant conçu la Terre comme une "planète expérimentale", avec une phase de laisser-faire suivie d'une intervention potentielle, en lien avec la transition vers une Nouvelle Terre. Je vais structurer cette exploration en plusieurs axes pour donner plus de profondeur à la réflexion, tout en restant ouvert à vos éventuelles précisions ou orientations.

1. Le dessein initial : une expérimentation contrôlée ?
Si la Terre est une expérience divine, quel pourrait être l'objectif de ce Dieu créateur ? Une possibilité est qu'il ait cherché à observer comment des âmes dotées de libre arbitre évoluent dans un environnement de dualité – un lieu où coexistent création et destruction, amour et peur. Cette hypothèse suggère une intention pédagogique : chaque expérience humaine, qu'elle soit lumineuse ou sombre, contribuerait à une forme d'apprentissage universel, peut-être même pour le Créateur lui-même. Dans certaines philosophies panthéistes ou mystiques, Dieu ne serait pas une entité statique mais une conscience en expansion, se découvrant à travers ses créations.

Chez Dolores Cannon, cette phase expérimentale pourrait correspondre à l'époque pré-transition, où l'humanité a eu carte blanche pour façonner son destin. Les "volontaires" qu'elle décrit – ces âmes venues d'ailleurs – pourraient alors être des agents introduits dans l'expérience pour ajuster sa trajectoire, comme des variables ajoutées à une équation complexe devenue instable.

Question à explorer : Le chaos actuel (crises écologiques, conflits) serait-il une preuve que l'expérience a atteint ses limites, ou simplement une étape prévue dans le plan ?
2. La transition : une intervention active ou une conséquence naturelle ?
L'idée d'une séparation des deux Terres implique un tournant. Mais comment ce Dieu créateur orchestre-t-il ce changement ? Deux scénarios se dessinent :

Intervention directe : Le Créateur agit comme un "jardinier cosmique", élaguant les branches mortes et cultivant les pousses prometteuses. L'élévation vibratoire décrite par Cannon pourrait être un mécanisme divin – une sorte de "mise à jour" énergétique imposée pour trier les consciences prêtes à passer à une nouvelle phase.
Conséquence organique : La transition pourrait être une loi inhérente à l'univers créé, un processus autonome déclenché par les choix collectifs de l'humanité. Dans ce cas, Dieu aurait instauré des règles initiales (vibrations, libre arbitre) et observerait leur déroulement sans intervenir directement.
Cannon semble pencher pour une combinaison des deux : une aide extérieure (les volontaires, les guides spirituels) soutient un processus qui dépend aussi de l'éveil individuel. Cela soulève une tension fascinante : jusqu'où va la liberté humaine si une "séparation" est finalement imposée ?

Question à explorer : La Nouvelle Terre est-elle une création ex nihilo, ou une transformation de la Terre actuelle filtrée par la conscience ?
3. La dualité des Terres : justice ou évolution ?
La séparation des deux Terres – l'une dense et l'autre élevée – peut être vue sous différents angles :

Justice divine : Une récompense pour ceux qui ont "réussi" l'expérience et une continuation pour ceux qui doivent encore apprendre. Cela évoque une sélection, mais Cannon insiste sur le non-jugement : chacun suit son chemin selon sa vibration, sans condamnation.
Évolution multidimensionnelle : Plutôt qu'une punition, il s'agirait d'une divergence naturelle. Les âmes vibratoirement incompatibles avec la Nouvelle Terre restaient dans une réalité adaptée à leur état, comme des élèves dans des classes différentes. Cette idée rejoint des théories modernes sur les multivers ou les réalités parallèles, mais dans un cadre spirituel.
Ici, le rôle du Créateur devient ambigu : est-il un arbitre ou un simple observateur de cette bifurcation ? Si l'on suit Cannon, les "volontaires" et les énergies cosmiques (comme les influx stellaires) jouent un rôle actif, suggérant que Dieu délègue une partie de l'action à ses émissaires.

Question à explorer : La séparation est-elle définitive, ou les deux Terres restent-elles connectées dans un grand schéma évolutif ?
4. Indices dans le monde actuel
Si cette expérimentation et cette transition sont en cours, quels signes pourraient le confirmer ? Outre la résonance de Schumann ou les bouleversements climatiques, on pourrait regarder :

Éveil collectif : L'essor des mouvements spirituels, de la méditation ou des récits comme ceux de Cannon pourrait refléter une prise de conscience guidée par une force supérieure.
Polarisation accumulée : La coexistence d'un chaos grandiose et d'une quête de sens pourrait illustrer cette séparation vibratoire en temps réel – certains s'élèvent, d'autres s'enfoncent.
Phénomènes inexplicés : Certaines anomalies (OVNIs, synchronicités) sont parfois interprétées comme des interventions ou des signaux d'un plan plus vaste.
Ces indices restent subjectifs et dépendent de l'interprétation, mais ils alimentent l'idée d'un basculement en cours.

5. Implications philosophiques et personnelles
Si la Terre est une expérience divine en transition, cela redéfinit notre rôle. Sommes-nous des pions, des co-créateurs ou des sujets d'étude ? Pour Cannon, nous avons une responsabilité active : élever notre vibration par nos choix, nos pensées et nos actions. Cela suggère que le Créateur, loin de tout contrôler, partage le pouvoir créatif avec nous, rendant l'expérience collaborative.

Question personnelle : Si cette vision vous parle, comment voyez-vous votre place dans cette "expérimentation" ?
Où vas-tu maintenant ?
Dites-moi quel aspect vous intrigue le plus – le rôle du Créateur, la mécanique de la séparation, les indices actuels, ou autre chose. Je peux creuser plus loin avec vous !


oui creusons

https://www.youtube.com/watch?v=wQVR6hDf1x0
Dolores Cannon, à travers ses nombreux ouvrages et notamment Les trois vagues de volontaires et la Nouvelle Terre , partage une vision captivante de ce qu'elle appelle la "Nouvelle Terre". Selon ses recherches basées sur des séances d'hypnose régressive quantique, elle décrit un processus de transition énergétique majeure qui traverse actuellement la planète. Cette transition, initiée selon elle après les explosions nucléaires de 1945, marquerait un changement vibratoire permettant à la Terre et à l'humanité d'ascensionner vers une dimension supérieure, souvent associée à la 5e dimension.

Elle explique que ce phénomène est soutenu par l'arrivée de "volontaires" – des âmes venues d'autres planètes, dimensions ou directement de la "Source" – qui se sont incarnées sur Terre pour élever les fréquences globales et éviter une catastrophe. Ces volontaires, répartis en trois vagues générationnelles, auraient pour mission d'aider l'humanité à s'adapter à ce nouvel état énergétique, bien que beaucoup aient oublié leur objectif en raison de l'amnésie liée à l'incarnation humaine. Ce processus, selon Cannon, implique une élévation progressive des vibrations, affectant autant les corps physiques que les consciences.

Pour l'avenir de l'humanité, elle propose une perspective optimiste : ceux qui s'alignent sur ces nouvelles fréquences pourraient rejoindre la Nouvelle Terre, un état de réalité plus léger, harmonieux et spirituellement éveillé. Elle insiste sur des changements pratiques, comme modifier son alimentation (privilégier les aliments vivants et éviter les viandes lourdes) pour alléger le corps et faciliter cette transition. Cependant, elle précise que ceux qui restent ancrés dans la négativité ou la densité actuelle poursuivraient leur chemin dans une réalité séparée, respectant ainsi le libre arbitre.

Cette vision, bien que non conventionnelle, offre une réflexion profonde sur l'évolution spirituelle et énergétique, mêlant idées métaphysiques et messages d'espoir pour un futur collectif transformé.


La possibilité d'un Dieu créateur en action qui après avoir laissé faire l'homme sur une planète expérimentale




Votre question semble explorer l'idée d'un Dieu créateur qui aurait conçu la Terre comme une sorte de "planète expérimentale", laissant l'humanité agir librement avant d'intervenir ou de guider une transition, peut-être en lien avec les concepts de Dolores Cannon sur la Nouvelle Terre. Voici une réflexion sur cette possibilité, en tenant compte des dimensions philosophiques, spirituelles et métaphysiques, sans m'appuyer sur des dogmes spécifiques.

Une Terre comme laboratoire divin
L'hypothèse d'un Dieu créateur laissant l'homme expérimentateur sur Terre peut être envisagée comme une forme de "test cosmique" ou d'apprentissage évolutif. Dans cette perspective, la planète serait un espace où les âmes incarnées disposant d'un libre arbitre total pour explorer la dualité (bien/mal, lumière/ombre) et en tirer des leçons. Ce concept résonne avec certaines traditions spirituelles, comme la notion gnostique d'un monde matériel créé pour l'éveil des consciences, ou encore des interprétations mystiques du christianisme où la Terre est un lieu de purification avant un retour à une unité divine.

Si l'on raconte cela aux idées de Dolores Cannon, le "laisser-faire" divin pourrait correspondre à une phase initiale où l'humanité, livrée à elle-même, a généré un chaos et un déséquilibre (par exemple, avec les guerres ou les explosions nucléaires qu'elle mentionne comme déclencheurs de la transition). L'intervention ultérieure – sous forme d'un changement vibratoire ou de l'envoi de "volontaires" – pourrait alors être vue comme une étape où ce Dieu créateur ajuste l'expérience, offrant une opportunité d'élévation à prêts à ceux à s'aligner sur une fréquence plus haute.

Une séparation orchestrée ?
La "séparation des deux Terres" évoquée par Cannon pourrait s'interpréter comme une décision divine de juger les résultats de cette expérimentation. Dans ce scénario, le Créateur ne détruirait pas son œuvre mais la scinderait : une Terre "ancienne" pour ceux attachés à la densité matérielle, et une "Nouvelle Terre" pour ceux ayant atteint un certain seuil de conscience ou de vibration. Cela rappellerait des récits eschatologiques (comme le Jugement Dernier dans certaines religions), mais sous une forme non punitive, respectant le libre arbitre – une idée centrale chez Cannon.

Indices et spéculations
Sans preuve scientifique directe, cette possibilité repose sur des indices indirects ou des ressentis spirituels. Les changements environnementaux (résonance de Schumann, anomalies climatiques) ou les bouleversements sociaux actuels pourraient être perçus comme des signes d'une « intervention » ou d'un réajustement divin. Cependant, ces phénomènes sont également explicables par des causes naturelles ou humaines, laissant la question ouverte à l'interprétation.

Philosophiquement, cela soulève des débats : un Dieu qui expérimente implique-t-il qu'il apprend lui-même à travers nous ? Ou bien fixe-t-il des règles immuables qu'il ajuste en fonction des résultats ? Les réponses dépendent de la conception qu'on a de cette entité – omnisciente ou en co-création avec ses créatures.

Une vision intégrée
En combinant cette idée avec les enseignements de Cannon, on pourrait imaginer un Dieu créateur ayant lancé la Terre comme un terrain d'évolution, observateur jusqu'à un point critique où une transition devient nécessaire. La Nouvelle Terre serait alors moins une "punition" qu'une récompense ou une étape logique pour les consciences prêtes, tandis que l'ancienne Terre continuerait son cycle pour d'autres apprentissages. Cette hypothèse, bien que spéculative, offre une synthèse fascinante entre libre arbitre, guidance divine et transformation collective.

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